Il est clair que la reconnaissance est une source essentielle de motivation. Il est clair également qu’on ne reconnaît jamais assez les membres de nos équipes – et que le manque de reconnaissance conduit à la démotivation.
Mais que reconnaître ? Quand ? Comment ? L’influence du taylorisme est tellement ancrée que nombreux chefs pensent encore que la performance s’achète : en rémunérant le résultat on reconnaît le travail accompli, n’est-ce-pas ? Rien n’est moins certain.
Que penser de l’obstétricien qui a le plus de complications post accouchement ? Le plus mauvais ? Ou au contraire, le meilleur qui prend tous les cas les plus difficiles ? Ne reconnaître que les résultats revient à valoriser la chance (ou la capacité à jongler avec les chiffres) plutôt que le travail de fond.
Quand la situation est difficile, comment reconnaître le travail acharné et persistant si les résultats se font attendre ? Inversement que reconnaît-on lorsqu’on rémunère le fait d’être au bon moment au bon endroit ?
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